Baguages aux îles de Varennes

Article intéressant de la journaliste Jessica Nadeau du journal Le Devoir sur la reproduction des bernaches dans la région de Montréal.

La journaliste à accompagner l’équipe du professeur du département des sciences biologiques de l’UQAM, Jean-François Giroux à une séance de bagages à Varennes sur l’île Masta du fleuve St-Laurent.
Bien que l’article en question est paru en 2017. Il est intéressant de constaté l’impact des inondations sur les îles de l’archipel. L’inondation en 2017 a affecté la reproduction des bernaches où près de 60% des nids des îles ont été détruits par les eaux du fleuve.
Au printemps de 2019, ou le niveau du fleuve a dépassé celle de 2017. Tout ce qui nichait en bordure du fleuve ont dû se déplacer pour trouvé des meilleures sites de reproduction.

Qu’est-ce qui à provoquer ces irrégularités ? ... probablement les changements climatiques.

Allez lire à ce lien du journal Le Devoir pour connaître le travail des biologistes sur les bernaches canadiennes de la région de Montréal.

Voici un extrait de l’article de Jessica Nadeau :

- C’est en 1992 que le chercheur a découvert les premiers nids de bernaches sur les îles de Varennes. Il y en avait trois. Chaque année, il en trouvait davantage. « La croissance était exponentielle et on y a vu une occasion unique de suivre l’établissement d’une population sur un nouveau territoire. On voulait savoir ce qui fait que la population va croître, ce qui la ralentit. Toute une génération d’étudiants a été mobilisée sur ce projet-là, car on a besoin de procéder à beaucoup de marquage d’individus. »
 
Depuis quelques années, la population de bernaches sur les îles de Varennes a atteint un plateau. Bon an, mal an, les chercheurs trouvent quelque 275 nids au printemps.

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Les inondations sont un phénomène naturel qui contribue a contrôler la population des Bernaches. L'article mentionne effectivement qu'elles sont en nombre croissant chaque année. 
Au Parc Michel-Chartrand de Longueuil, elles sont quelques centaines à se tenir autour des lacs, ça devient un envahissement. Quoi de plus insalubre que leurs déjections proportionnelles à la grosseur de l'oiseau? Comme ce sont de petits lacs artificiels, la montée des eaux ne sera pas de grande aide pour les contrôler. A des dizaines de nids de trois à dix œufs par année, la multiplication est rapide. Et il n'y a pas de chasse dans ce secteur. Problématique grandissante….

Bonjour ! Lorraine.

Oui, c’est vrai que la population des bernaches de la région de Montréal à grandement élargie son territoire de nidification, principalement en milieu urbain. Et pour cause, ça s’explique par le manque d’accès de milieux humides en région périphérique des grands centres urbains et aussi avouant nous-le, par la protection et l’absence de prédations naturelles ou bien impensables, par l’absence de chasseurs.

À lire. :
Le va-et-vient des bernaches, grand problème pour les municipalités.

Voici le lien du texte intéressant de Ximena Sampson sur MSN Média de 2019-07-06 :

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