[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]L’alouette. Chanté depuis des siècles, existera-t’elle dans trente ans ? Et le vanneau huppé ?, la maubèche des champs ?, le goglu des prés ? l’hirondelle ?, l’engoulevent ?, le martinet ramoneur ?
Toutes ces espèces disparaissent de façon accélérée que ça soit en Europe où en Amérique du Nord.
Selon les études des chercheurs, plus de 400 millions d’oiseaux ont disparu en l’espace de trois décennies. Ce qui représente un cinquième de la population mondiale.
Ce vidéo de la chaîne YouTube de la télé culturelle Franco-allemande Arte donne la parole à ceux qui étudient le phénomène pour tenter de l’enrayer, et observe les espèces menacées.
L’alouette, est bien connu au Québec. Elle ne désigne pas seulement une équipe de football montréalaise. Mais c’est aussi une très vielle chanson.
- Au chant de l'alouette je veille et je dors. J'écoute l'alouette et puis je m'endors.
Pour ceux qui se souviennent de cette comptine de l’enfance que l’ont nous faisait réciter à la petite école. En fait le texte de cette chanson décrit comment autrefois, plumer cet oiseau que les français mangeaient.
Chanson aussi très populaire en France, en Belgique, en Suisse, au Québec et au Nouveau-Brunswick. Cette chanson remonterait au xixe siècle. C'est une chanson à récapitulation. C’est à dire que le texte est répétée chaque fois, mais que seule les parties du corps de l’oiseau sont changer et additionner au fil de l’interprétation.
Même si elle a été publiée la première fois dans (A Pocket Song Book for the Use of Students and Graduates of McGill College, Montréal, 1879), elle vient sans doute originaire de la France.
La chanson Alouette est aussi très associées aux voyageurs et aux coureurs de bois canadiens-français qui faisaient la traite des fourrures en canot à partir de Montréal avec un équipage de douze personnes et une charge en moyenne de trois tonnes. Ils remontaient les rivières des territoires sauvages de l’ouest de l’Amérique du Nord. Les voyageurs faisaient un travail pénible durant de longues heures. Ils chantaient pendant qu’ils pagayaient pour garder le rythme et pour passer le temps.
Peut-être que les hivernants et les agents de traite montréalais embauchaient des voyageurs qui aimaient chanter parce qu’ils savaient que chanter en rythme leurs permettaient d’avironner plus vite et plus longtemps. - Source Wikipedia.