C'est pareil au Parc Michel-Chartrand de Longueuil. On marche dans les sentiers et on se fait chatouiller le visage par une chenille se balançant au bout d'un fil de soie, on en écrase au sol aussi, il y en a partout. Elles nous grimpent dessus et se promènent à leur aise.
Les oiseaux ne fournissent pas à toutes les ingurgiter. La sécheresse produit une telle recrudescence.