Son chant, dont je me doutais, par la présentation du post, et que j'ai tout de suite reconnu dans la bande sonore, me rappelle de très lointains souvenirs.
En effet, pendant plusieurs années de mon adolescence à la colonie de vacances dans les Cantons de l'Est, il venait chanter
à tous les soirs de début d'été dès que nous nous mettions au lit.
Un soir, j'ai voulu le voir et je suis sorti dehors avec une lampe de poche. Je l'ai bien vu car il était sur le toit de notre petit dortoir. Il ne se préoccupait aucunement du rayon projeté sur lui.
Nous nous amusions à compter silencieusement dans nos têtes le nombre de «
bois-pourri» chantés avant qu'il ne reprenne son souffle. C'était hallucinant
: ... jusqu'à une soixantaine de «
bois-pourri».
Cogneur, je te trouve très chanceux ! J'aimerais ça de pouvoir m'endormir encore sur ce chant.