Je crois que c'est l'Apios d'Amérique. C'est très semblable à ce que je vois dans mon livre "Fleurs sauvages du Québec". On y dit que cette plante peut mesurer jusqu'à 2 mètres et doit s'enrouler autour de la végétation environnante pour s'élever au-dessus du sol; elle dégage une odeur peu agréable. Très abondante surtout sur les rivages du fleuve Saint-Laurent. Sa multiplication est assurée par des tubercules. Aux premiers temps de la colonie, ces tubercules servaient parfois de substitut au pain.
Lorraine